Mon séjour à Adélaïde ne devait être qu’une courte halte en route vers la ferme de mon amie Robyn…que vous découvrirez dans mon prochain papier.

Pour ce faire, j’ai pris l’avion aux aurores de Hobart… qui passait par Melbourne ce qui a fait hocqueter de rire mon amie!

Sans compter que dans ma hâte j’ai réussi à abandonner un foulard à mon hôtel Tasmanien et mes lunettes de soleil qui allaient enfin s’avérer indispensables après les fluctuations tempérées de la Nouvelle-Zélande et de la Tasmanie… ainsi que la pochette de ma veste si pratique…!!!

J’ai donc pensé me planquer dans ma chambre pour me faire aucun dégât supplémentaire et ne rien perdre de plus essentiel, mon cerveau ayant la propension de cesser de fonctionner en cas de chaleur extrême et de manque de sommeil!

En réalité et grâce aux conseils avisés de Robyn, j’ai bravé la chaleur étouffante de la capitale de l’Australie du Sud et le tour d’Australie à vélo pour les salles climatisées et fascinantes du Musée des Beaux Arts et du South Australian Museum.

Pour l’atteindre, en l’absence de tram pour cause de réfection en plein centre-ville, j’ai bravé les 40 degrés bien tassés

et la torpeur ambiante pour prendre un bus qui m’a laissée à 500 mètres… je suis arrivée au musée pour me voir offrir une bouteille d’eau par une hôtesse compatissante et n’ai retrouvé mes esprits qu’après un délicieux déjeuner sous la treille. J’ai ainsi testé un gin local assaisonné d’herbes et de fourmis vertes aborigènes… en musique!

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Il m’a ensuite été possible de visiter l’exposition intitulée Tarnanthi (Nouveaux départs ) présentant l’art contemporain des diverses sociétés aborigènes d’Australie, dont une pièce exceptionnelle à partir de flèches traditionnelles représentant les essais nucléaires réalisés par les anglais dans les territoires autochtones au plus grand mépris de leurs vies.

I was able to discover that there are 6 seasons for the aboriginal people for whom landscapes are integrated in art pieces.

The special place of the Rainbow serpent (God), the fact that everyone has a totem (emu, kangaroo) and that most things related to man are usually in the open open while things related to women are kept secret.

I heard about the Uluru caves

And at the Museum of South Australia, Ngurra : Home isn’t just a house, it’s our land, with testimonies such as: “We paint the stories to keep our connections strong. Lifestyle is for privileged people, we remain here because it’s our duty”

After this extremely interesting insight I wandered into Adelaide beautiful colonial architecture before attending one of the most extraordinary sunsets in my life!

Désolée pour l’incursion de l’anglais dans ce blog en français…disons qu’il est bilingue et vous saurez protester le cas échéant !

references:

Rydges Hotel

6 thoughts on “À la Recherche des Aborigènes(18): une capitale culturelle (Hobart-Adélaïde )

  1. ma chérie, la chaleur d’Adélaïde compense-t-elle la pluie incessante d’ici ? belles pièces au musée ! bien digéré les fourmis ? ça n’est plus un libre que tu vas écrire c’est une bibliothèque !!! bzzz genevois, humides, ciel bas (avons bénéficié de quelques heures de ciel bleu, ne savions plus que ça existait !

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    1. Les fourmis sont restées dans la bouteille mais le gin était excellent…!!! Après la pluie le beau temps, kourâge comme dit ma grande copine Sainte Ingrid de Genève !!!!

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